Le langage des oiseaux
« Le langage des oiseaux » du poète soufi Attar, influença les créations marocaines regroupées sous le titre « l’harmonie cachée du monde », 10 courtes vidéos (« la recherche », « la chute », « l’errance » « l’analepsie », « la connaissance », « l’amour », « l’indépendance », « l’unité », « le dénuement », « la recherche du paradis»), retracent ici des réflexions essentielles dans l’oeuvre de Dominique Kippelen. à son arrivée au Maroc en 1999, elle n’a eu de cesse à parcourir d’abord les méandres de la vieille ville de Fès, visitant chaque parcelle où elle enregistre et questionne la trace du labeur difficile des hommes, des femmes, des enfants et des vieillards intrinséquement lié aux caractéristiques des espaces.
Chaque jour, elle observe, capte, enregistre et se cogne aux êtres, comme à leurs paroles formatrices lancées à son passage : « celui qui est pressé est déjà mort ». Epuisée, elle cherchera une piste transversale pour le repos et l’indispensable solitude nécessaire à ses pérégrinations urbaines. Toujours soucieuse de mieux comprendre la configuration des espaces publics et privés de la médina, elle trouve refugedans le silencieux jardin du Dar Batha, anti-thèse de la Médina mais où l’architecture du lieu permet à l’œil d’appréhender la totalité à partir de n’importe quel point de vue la totalité du jardin ou de la médina ?
Elle y conçoit des projets d’installations, de vidéos, et de performances. «Les dessins-vite» (que l’on retrouve aussi dans «la recherche» et «l’harmonie cachée du monde») sont les créations que l’artiste juge aujourd’hui les plus appropriées au contexte et aux informations qu’elle recueillit alors, sur le flot urbain de la médina
« installation aux lebdas rouges », 1999.
« les dessins-vite » 1999
« l’harmonie cachée du monde » installation vidéos, 2003.
« Le langage des oiseaux » du poète soufi Attar, influença les
créations marocaines regroupées sous le titre « l’harmonie cachée du monde »,
10 courtes vidéos (« la recherche », « la chute », « l’errance » «
l’analepsie », « la connaissance », « l’amour », « l’indépendance », « l’unité
», « le dénuement », « la recherche du paradis»), retracent ici des réflexions
essentielles dans l’oeuvre de Dominique Kippelen. à son arrivée au Maroc en 1999, elle n’a eu de cesse à parcourir d’abord les méandres de la vieille ville de Fès,
visitant chaque parcelle où elle enregistre et questionne la trace du labeur
difficile des hommes, des femmes, des enfants et des vieillards intrinséquement lié aux caractéristiques
des espaces. Chaque jour, elle observe, capte, enregistre et se cogne aux
êtres, comme à leurs paroles formatrices lancées à son passage : « celui qui
est pressé est déjà mort ». Epuisée, elle cherchera une piste transversale pour
le repos et l’indispensable solitude nécessaire à ses pérégrinations urbaines.
Toujours soucieuse de mieux comprendre la configuration des espaces publics et
privés de la médina, elle trouve refuge dans le silencieux jardin du Dar
Batha, anti-thèse de la Médina mais où l’architecture du lieu permet à l’œil
d’appréhender la totalité
à partir de n’importe quel point de vue. la totalité du jardin ou de la médina ?Elle y conçoit des projets d’installations, de vidéos, et de
performances. «Les dessins-vite» (que
l’on retrouve aussi dans «la recherche»
et «l’harmonie cachée du monde») sont les créations que l’artiste jugeaujourd’hui les plus appropriées
au contexte et aux informations qu’elle recueillit alors, sur le flot urbain de
la médina « installation aux lebdas rouges », 1999. « les dessins-vite » 1999 « l’harmonie cachée du monde » installation vidéos, 2003.